Notre lettre 1193 publiée le 29 avril 2025

MENSONGES ET PERSÉCUTIONS

DE LA MESSE TRADITIONNELLE.

IL Y A URGENCE

À RÉTABLIR LA PAIX DE L’ÉGLISE

LES VEILLEURS POURSUIVENT
POUR LA 188ÈME SEMAINE
LEURS PRIÈRES POUR LA DÉFENSE
DE LA MESSE TRADITIONNELLE
DEVANT L'ARCHEVÊCHÉ DE PARIS
DU LUNDI AU VENDREDI
DE 13H À 13H30
10 RUE DU CLOÎTRE-NOTRE-DAME




Chers Amis, 

Lundi 21 avril 2025, le lundi saint, nous avons appris la mort du pape François. Nous prions pour le repos de son âme. Et nous prions aussi intensément pour l’Église divisée, écartelée, gagnée par la sécularisation extrême de notre époque.

Depuis le dernier concile le catholicisme est divisé gravement. Jean-Paul II et Benoît XVI ont voulu y remédier en quelque sorte en modérant Vatican II. François, au contraire, en le portant à ses limites. Ceci est très visible dans le domaine liturgique. Jean-Paul II et surtout Benoît XVI ont recherché l’apaisement, Summorum Pontificum, en 2007, étant le sommet de cette politique pastorale qui permettait aux curés de paroisses de répondre favorablement aux groupes leur demandant une célébration traditionnelle. Il est vrai qu’affirmer, comme le faisait Benoît XVI dans Summorum Pontificum, que l’une et l’autre liturgie étaient la lex orandi de l’Église romaine était une cote mal taillée, mais cela a permis une vie plus paisible à la liturgie traditionnelle, dont il faut rappeler qu’en 10ans, de 2007 à 2017, elle a vu le nombre de ses lieux de culte dans le monde doubler.

À l’inverse, François est partie en guerre contre cette liturgie, dont il a voulu réduire l’extension. En 2021, par Traditionis custodes, il contredisait Summorum Pontificum en affirmant que seule la liturgie de Paul VI était lex orandi, en restreignant la liberté de la messe, ce qui a provoqué les suppressions de messes parisiennes contre lesquelles nous manifestons depuis 4 ans sans jamais nous lasser, et en interdisant pratiquement les sacrements autres que l’Eucharistie.

En réalité, la messe traditionnelle, avec la profession de foi qu’elle représente, s’avère désormais impossible à éradiquer. Nous avons d’ailleurs réclamé justice haut et fort, non pas pour nous, mais pour l’Église que ces mesures oppressent. Sans cesse nous avons demandé et nous demandons la liberté de la liturgie traditionnelle, qui relève de la liberté de l’Église, car cette liturgie immémoriale est son bien propre et très précieux.

Le Sacré Collège s’apprêtant à élire un nouveau pape, la toute dernière Lettre de Paix liturgique disait que la liberté de la liturgie traditionnelle est indispensable à la paix de l’Église. Qu’on laisse au minimum les catholiques vivre catholiquement dans l’Église catholique. Nous répétons par ailleurs que l’établissement de cette paix est simple ; cette mesure bienfaisante ne nécessite aucune législation supplémentaire : il suffit tout simplement que les autorités d’Église décident d’une cessation pratique des mesures coercitives contre la liturgie ancienne.

Il s’agit, en d’autres termes, de mettre Traditionis custodes entre parenthèses. Il faut d’ailleurs prendre conscience que, le pape de Traditionis custodes mort, le fait que ce texte était fondé sur un mensonge va inéluctablement apparaître au grand jour. Je l’ai dit et répété depuis le début : l’enquête lancée auprès de tous les évêques du monde, à la demande du pape, le 7 mars 2020 par le cardinal Ladaria, alors Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, pour faire un état des lieux sur l’application de Summorum Pontificum, a fait apparaître un bilan globalement très favorable. La question centrale de l’enquête était : « Selon vous, quels sont les aspects positifs et négatifs de l’usage de la forme extraordinaire ? » Très largement, les évêques concernés par le motu proprio de Benoît XVI notaien l’effet pacifiant et l’usage pacifique de ses mesures.

Or, la lettre de François du 16 juillet 2021 accompagnant Traditionis custodes faisait dire l’inverse aux résultats de cette enquête : « Les réponses parvenues ont révélé une situation douloureuse qui m’inquiète, me confirmant la nécessité d’intervenir. […] Une possibilité offerte par saint Jean-Paul II et avec une magnanimité encore plus grande par Benoît XVI afin de recomposer l’unité du corps ecclésial dans le respect des différentes sensibilités liturgiques a été utilisée pour augmenter les distances, durcir les différences, construire des oppositions qui blessent l’Église et en entravent la progression, en l’exposant au risque de divisions. »

Cette torsion de la vérité – qu’elle vienne du pape ou de son entourage – a permis la préparation de Traditionis custodes au sein de multiples réunions dans le palais du Saint-Office, dans lesquelles cette volonté de réduire la messe traditionnelle a été tout spécialement portée par le cardinal Parolin, Secrétaire d’État : « Nous devons mettre fin à cette messe pour toujours ! » Mais c’est sur un faux qu’a été établie la reprise de la persécution contre la messe tridentine aussi vous savez que depuis plusieurs années nous demandons la publication des résultats de l’enquête pour, dans la Paix, rétablir la vérité sur cette manipulation.

Chers Amis veilleurs, notre protestation aujourd’hui doit donc être encore plus forte. Il y va, encore une fois de la liberté et de la paix de l’Église. Signe de cette protestation continue : nos chapelets devant les bureaux de l’archevêché, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, du lundi au vendredi, de 13h à 13h 30, à Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, dans le XIXe, le mercredi à 17h, devant Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, dans le XIVe.

Echos de veilles : Un peu hésitante sur leur français voici des membres d'une famille qui s'arrêtent : "Nous habitons à Amsterdam et nous pensons comme vous. Nous espérons que l'Eglise de France n'est pas comme celle des Pays-Bas qui a pratiquement disparu". Leur jeune fille ajoute " Si Dieu veut je serai bientôt de retour à Paris pour participer au prochain pèlerinage de Chartres avec mes amis. J'y suis déjà venue deux fois mais notre chapitre hollandais sera plus important cette année ! Peut-être que je vous reverrai à cette occasion. A bientôt !"


En union de prière et d’amitié,

Christian Marquant


A LIES AND THE PERSECUTIONS OF THE TRADITIONAL MASS

RESTORING PEACE TO THE CHURCH

188th WEEK: THE SENTINELS CONTINUE THEIR PRAYERS

FOR THE DEFENSE OF THE TRADITIONAL MASS

IN FRONT OF THE ARCHDIOCESE OF PARIS




On Monday, April 21, 2025, Easter Monday, we learned of the death of Pope Francis. We pray for the repose of his soul. And we also pray intensely for our divided Church, torn and overwhelmed by the extreme secularization of our time.

Since the last Council, Catholicism has been seriously divided. John Paul II and Benedict XVI sought to remedy this in some way by moderating Vatican II. Francis, on the contrary, by pushing it to its limits. This is very visible in the liturgical sphere. John Paul II and especially Benedict XVI sought an appeasement, Summorum Pontificum, in 2007, being the culmination of this pastoral policy that allowed parish priests to respond favourably to groups requesting a traditional celebration. It is true that affirming, as Benedict XVI did in Summorum Pontificum, that both liturgies were the lex orandi of the Roman Church has been an ill-advised proposition, but it has allowed a more peaceful life for the traditional liturgy, which, it must be remembered, saw the number of places of worship around the world double in ten years, from 2007 to 2017.

On the contrary, Francis waged war against this liturgy, and was set on reducing its increasing diffusion. In 2021, through Traditionis Custodes, he contradicted Summorum Pontificum by affirming that only the liturgy of Paul VI was lex orandi, by restricting the freedom of the Mass, which led to the suppression of the Parisian Masses, against which we have been demonstrating tirelessly for four years, and by practically prohibiting the sacraments other than the Eucharist.

In reality, the traditional Mass, with the profession of faith it represents, is today impossible to eradicate. We have also loudly demanded justice, not for ourselves but for the Church, which is being oppressed by these measures. We have consistently asked and continue to ask for freedom for the traditional liturgy, which is a part of the Church's freedom, because this immemorial liturgy is a good that belongs, and very precious one too.

As the Sacred College prepares to elect a new Pope, the latest Letter of Paix Liturgique affirms that freedom of the traditional liturgy is essential for the peace of the Church. At the very least, let Catholics live Catholic lives in the Catholic Church. We also repeat that establishing this peace is simple; this beneficial measure requires no additional legislation: it is sufficient simply for the ecclesiastical authorities to decide on the practical cessation of coercive measures against the ancient liturgy.

In other words, it is a matter of putting Traditionis Custodes in parentheses. We must also be aware that, with the death of the Pope of Traditionis Custodes, the fact that this text was based on a lie will inevitably come to light. I have said and repeated it from the beginning: the survey launched on March 7, 2020, by Cardinal Ladaria, then Prefect of the Congregation for the Doctrine of the Faith, at the request of the Pope, and directed to all the bishops of the world, in order to assess the application of Summorum Pontificum, revealed a generally very favourable opinion of such implementation. The central question of the survey was: "In your opinion, what are the positive and negative aspects of the use of the extraordinary form?" To a large extent, the bishops affected by Benedict XVI's motu proprio emphasized its pacifying effect and peaceful use of its measures.

However, Francis' letter of July 16, 2021, accompanying Traditionis Custodes, stated the opposite of the results of this survey: "The responses received revealed a situation that saddens and worries me, confirming the need to intervene. […] An opportunity offered by Saint John Paul II, and with even greater magnanimity by Benedict XVI, to restore the unity of the ecclesial body, while respecting diverse liturgical sensibilities, has been seized upon to increase distances, harden differences, and build oppositions that hurt the Church and hinder its progress, exposing it to the risk of division."

This distortion of the truth—whether by the Pope or by his entourage —allowed the preparation of Traditionis Custodes in multiple meetings at the Palace of the Holy Office, where this desire to reduce the Traditional Mass was particularly supported by Cardinal Parolin, Secretary of State: "This Mass must be done away with forever!" But it is on the basis of a falsification that the resumption of the persecution against the Tridentine Mass was established, and that is why, as you know, for several years we have been calling for the publication of the results of the investigation in order, in peace, to reestablish the truth about this manipulation.

Dear Sentinel friends, our protest today must be even stronger. Once again, the freedom and peace of the Church are at stake. A sign of this ongoing protest: our rosaries in front of the archdiocese headquarters, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, Monday through Friday, from 1:00 p.m. to 1:30 p.m., at Saint-Georges de La Villette, 114 Avenue Simon Bolivar, on Wednesdays at 5:00 p.m., in front of Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Echoes of the Vigils: In halting French, members of a family stop in front of us: "We live in Amsterdam and think like you. We hope that the Church in France will not be like that of the Netherlands, which has practically disappeared." The youngest daughter adds: "God willing, I will soon return to Paris to participate in the next pilgrimage to Chartres with my friends. I've already been there twice, but our Dutch chapter will be larger this year! Perhaps we'll see each other again then. See you soon!"



UNA BUGIA E LA PERSECUZIONE DELLA MESSA TRADIZIONALE

RISTAURARE LA PACE DELLA CHIESA

188ª SETTIMANA: LE SENTINELLE CONTINUANO LA LORO PREGHIERA

PER LA DIFESA DELLA MESSA TRADIZIONALE

DAVANTI ALL'ARCIDIOCESI DI PARIGI




Lunedì 21 aprile 2025, lunedì di Pasqua, abbiamo appreso la notizia della morte di Papa Francesco. Preghiamo per il riposo della sua anima. E preghiamo intensamente anche per la Chiesa, divisa, lacerata, sopraffatta dall’estrema secolarizzazione del nostro tempo.

Dopo l'ultimo concilio, il cattolicesimo si è venuto a trovare profondamento diviso. Giovanni Paolo II e Benedetto XVI hanno voluto in qualche modo porre rimedio a questa situazione moderando il Concilio Vaticano II. Francesco, al contrario, lo spinse al limite. Ciò è molto visibile nell'ambito liturgico. Giovanni Paolo II e soprattutto Benedetto XVI cercarono la pacificazione, e Summorum Pontificum, nel 2007, ne segnò il culmine di tale politica pastorale che consentì ai parroci di rispondere favorevolmente ai gruppi che richiedevano la celebrazione tradizionale. È vero che affermare, come fece Benedetto XVI in Summorum Pontificum, che entrambe le liturgie erano la lex orandi della Chiesa romana è stata una opzione poco avveduta, ma ha permesso una vita più tranquilla alla liturgia tradizionale, che, è bene ricordarlo, ha visto raddoppiare il numero dei suoi luoghi di culto nel mondo in dieci anni, dal 2007 al 2017.

Al contrario, Francesco mosse guerra a questa liturgia, di cui voleva ridurre l'estensione. Nel 2021, attraverso la Traditionis Custodes, ha contraddetto Summorum Pontificum affermando che solo la liturgia di Paolo VI era lex orandi, limitando la libertà della Messa, il che ha portato alla soppressione delle Messe parigine, contro la quale abbiamo manifestato instancabilmente per quattro anni, e proibendo di fatto gli altri sacramenti oltre all'Eucaristia.

In realtà, la Messa tradizionale, con la professione di fede che essa rappresenta, è oggi impossibile da sradicare. E abbiamo anche chiesto giustizia a voce ferma, non per noi stessi ma per la Chiesa che è oppressa da queste misure. Abbiamo chiesto e continuiamo a chiedere costantemente la libertà dalla liturgia tradizionale, che fa parte della libertà della Chiesa, perché questa liturgia immemorabile è un suo bene proprio e preziosissimo.

Mentre il Sacro Collegio si prepara a eleggere un nuovo Papa, l'ultima Carta di Paix Liturgique afferma che la libertà della liturgia tradizionale è essenziale per la pace nella Chiesa. Lasciate che i cattolici vivano una vita cattolica, se non altrove, almeno nella Chiesa cattolica. Ripetiamo inoltre che l'instaurazione di questa pace è semplice; uno scopo benefico per tutti che infatti nemmeno richiede alcuna ulteriore legislazione: è sufficiente che l'autorità ecclesiastica decida la cessazione nella pratica delle misure coercitive contro l'antica liturgia.

In altre parole, si tratta di mettere tra parentesi a Traditionis Custodes. Dobbiamo anche essere consapevoli che con la morte del Papa della Traditionis Custodes, verrà inevitabilmente alla luce il fatto che questo testo si basava su una menzogna. L'ho detto e ripetuto fin dall'inizio: il sondaggio avviato il 7 marzo 2020 dal cardinale Ladaria, allora Prefetto della Congregazione per la Dottrina della Fede, su richiesta del Papa, e diretto a tra tutti i vescovi del mondo, per fare il punto sull'attuazione del Summorum Pontificum, ha rivelato una valutazione complessivamente molto favorevole. La domanda centrale del sondaggio era: “A suo avviso, quali sono gli aspetti positivi e negativi dell'uso della forma straordinaria?" In larga misura, i vescovi interessati dal motu proprio di Benedetto XVI ne hanno sottolineato l'effetto pacificatore e l'applicazione pacifica delle sue misure.

Tuttavia, la lettera di Francesco del 16 luglio 2021, che accompagnava il motu proprio Traditionis Custodes, affermava il contrario dei risultati di questo sondaggio: “Le risposte pervenute hanno rivelato una situazione che mi addolora e mi preoccupa, confermandomi nella necessità di intervenire. […] Una possibilità offerta da san Giovanni Paolo II e con magnanimità ancora maggiore da Benedetto XVI al fine di ricomporre l’unità del corpo ecclesiale nel rispetto delle varie sensibilità liturgiche è stata usata per aumentare le distanze, indurire le differenze, costruire contrapposizioni che feriscono la Chiesa e ne frenano il cammino, esponendola al rischio di divisioni.

Questa distorsione della verità – sia ad opera del Papa stesso o dal suo entourage – ha permesso la preparazione della Traditionis Custodes in molteplici riunioni presso il Palazzo del Sant'Uffizio, dove questa volontà di ridurre la Messa tradizionale è stata particolarmente sostenuta dal cardinale Parolin, Segretario di Stato: "Questa Messa deve essere abolita per sempre!" Ma è sulla base di una falsificazione che è stata stabilita la ripresa della persecuzione contro la Messa tridentina, ed è per questo che, come ben sapete, da diversi anni chiediamo la pubblicazione dei risultati dell'inchiesta per poter ristabilire pacificamente la verità su questa manipolazione.

Cari amici Sentinelle, la nostra protesta adesso deve essere ancora più forte. Ancora una volta sono in gioco la libertà e la pace della Chiesa. Un segno di questa protesta in corso: i nostri rosari davanti alla sede dell'arcidiocesi, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, dal lunedì al venerdì, a partire dalle 13:00. alle 13,30, a Saint-Georges de La Villette, 114 Avenue Simon Bolivar, mercoledì alle 17, davanti a Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Echi delle Veglie: In un francese titubante, i membri di una famiglia si fermano davanti a noi e ci raccontano: "Viviamo ad Amsterdam e la pensiamo come voi. Speriamo che la Chiesa in Francia non stia come quella dei Paesi Bassi, che è praticamente scomparsa". E la figlia più piccola aggiunge: "Se Dio vuole, tornerò presto a Parigi per partecipare al prossimo pellegrinaggio a Chartres con le mie amiche. Ci sono già stata due volte, ma quest'anno il nostro capitolo olandese sarà ancora più numeroso! Forse ci rivedremo in quell'occasione. A presto!".



UNA MENTIRA Y LA PERSECUCIÓN DE LA MISA TRADICIONAL

RESTAURANDO LA PAZ DE LA IGLESIA

SEMANA 188: LOS CENTINELAS CONTINÚAN SUS ORACIONES

EN DEFENSA DE LA MISA TRADICIONAL

DELANTE DE LA ARCHIDIÓCESIS DE PARÍS




El lunes 21 de abril de 2025, Lunes de Pascua, supimos del fallecimiento del Papa Francisco. Oramos por el descanso de su alma. Y oramos también intensamente por la Iglesia dividida, desgarrada, abrumada por la extrema secularización de nuestro tiempo.

Desde el último concilio, el catolicismo ha estado seriamente dividido. Juan Pablo II y Benedicto XVI quisieron de algún modo remediar esto moderando el Vaticano II. Francisco, por el contrario, llevándolo hasta sus límites. Esto es muy visible en el ámbito litúrgico. Juan Pablo II y especialmente Benedicto XVI buscaron el apaciguamiento. Summorum Pontificum, en 2007, fue el culmen de esta política pastoral que permitió a los párrocos responder favorablemente a los grupos que solicitaban una celebración tradicional. Es cierto que afirmar, como hizo Benedicto XVI en Summorum Pontificum, que ambas liturgias eran la lex orandi de la Iglesia romana ha sido una propuesta mal ajustada, pero ha permitido una vida más tranquila a la liturgia tradicional, que, hay que recordarlo, vio duplicarse el número de sus lugares de culto en el mundo en diez años, de 2007 a 2017.

En cambio, Francisco emprendió la guerra contra esta liturgia, cuya extensión quería reducir. En 2021, a través de Traditionis Custodes, contradijo Summorum Pontificum al afirmar que solo la liturgia de Pablo VI era lex orandi, al restringir la libertad de la Misa, lo que provocó la supresión de las Misas parisinas contra la cual nos manifestamos desde hace 4 años sin cansarnos, y al prohibir prácticamente otros sacramentos que no fueran la Eucaristía.

En realidad, la Misa tradicional, con la profesión de fe que representa, resulta hoy imposible de erradicar. También hemos exigido en voz alta justicia, no para nosotros sino para la Iglesia que está siendo oprimida por estas medidas. Hemos pedido constantemente y seguimos pidiendo la libertad de la liturgia tradicional, lo que es parte de la libertad de la Iglesia, porque esta liturgia inmemorial es un bien suyo propio y muy precioso.

Mientras el Sacro Colegio se prepara para elegir un nuevo Papa, la última Carta de Paix Liturgique afirma que la libertad de la liturgia tradicional es esencial para la paz de la Iglesia. Por lo menos, dejemos que los católicos vivan vidas católicas en la Iglesia Católica. Repetimos también que el establecimiento de esta paz es sencillo; esta medida beneficiosa no requiere ninguna legislación adicional: basta simplemente que las autoridades eclesiásticas decidan el cese práctico de las medidas coercitivas contra la liturgia antigua.

En otras palabras, se trata de poner Traditionis Custodes entre paréntesis. También debemos ser conscientes de que, con la muerte del Papa de Traditionis Custodes, inevitablemente saldrá a la luz el hecho de que este texto estaba basado en una mentira. Lo he dicho y lo he repetido desde el principio: la encuesta lanzada entre todos los obispos del mundo, a petición del Papa, el 7 de marzo de 2020 por el cardenal Ladaria, entonces Prefecto de la Congregación para la Doctrina de la Fe, para hacer un balance de la aplicación de Summorum Pontificum, reveló una evaluación generalmente muy favorable. La pregunta central de la encuesta fue: «En su opinión, ¿cuáles son los aspectos positivos y negativos del uso de la forma extraordinaria?». En gran medida, los obispos incumbidos por el motu proprio de Benedicto XVI destacaron el efecto pacificador y el uso pacífico de sus medidas.

Sin embargo, la carta de Francisco del 16 de julio de 2021, que acompaña a Traditionis Custodes, decía lo contrario de los resultados de esta encuesta: «Las respuestas recibidas revelaron una situación que me apena y preocupa, confirmando la necesidad de intervenir. […] Una oportunidad ofrecida por san Juan Pablo II y con mayor magnanimidad aún por Benedicto XVI para restaurar la unidad del cuerpo eclesial, respetando las diversas sensibilidades litúrgicas, ha sido aprovechada para aumentar las distancias, endurecer las diferencias y construir oposiciones que hieren a la Iglesia y dificultan su progreso, exponiéndola al riesgo de la división».

Esta tergiversación de la verdad –ya sea por parte del Papa o de su entorno– hizo posible la preparación de Traditionis Custodes en múltiples reuniones en el Palacio del Santo Oficio, en las que esta voluntad de reducir la Misa tradicional fue particularmente apoyada por el cardenal Parolin, Secretario de Estado: «¡Hay que acabar con esta Misa para siempre!». La persecución contra la Misa tridentina se reanudó apoyada en una falsificación, y es por eso que, como saben, desde hace varios años pedimos la publicación de los resultados de la investigación para, en paz, restablecer la verdad sobre esta manipulación.

Queridos amigos Centinelas, nuestra protesta hoy debe ser aún más fuerte. Una vez más, la libertad y la paz de la Iglesia están en juego. Una señal de esta protesta continua: nuestros rosarios frente a la sede de la archidiócesis, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, de lunes a viernes, de las 13 horas a 13:30 horas, en Saint-Georges de La Villette, 114 Avenue Simon Bolivar, el miércoles a las 17:00 horas, frente a Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, los domingos a las 18:15 horas.

Ecos de las Vigilias: Con un francés vacilante, los miembros de una familia se detienen delante de nosotros: «Vivimos en Ámsterdam y pensamos como ustedes. Esperamos que la Iglesia en Francia no sea como la de los Países Bajos, que prácticamente ha desaparecido». La hija más pequeña añade: «Si Dios quiere, pronto volveré a París para participar en la próxima peregrinación a Chartres con mis amigos. Ya he estado allí dos veces, ¡pero nuestro capítulo holandés será más grande este año! Quizás nos veamos de nuevo en esa ocasión. ¡Hasta pronto!».



Eine Lüge und die Verfolgung der traditionellen Messe

Wiederherstellung des Friedens in der Kirche

188. WOCHE: DIE WÄCHTER SETZEN IHRE GEBETE

FÜR DIE VERTEIDIGUNG DER TRADITIONELLEN MESSE

VOR DER ERZDIÖZESE VON PARIS FORT




Am Montag, dem 21. April 2025, Ostermontag, erfuhren wir vom Tod von Papst Franziskus. Wir beten für die Ruhe seiner Seele. Und wir beten auch inständig für die Kirche, die gespalten, auseinandergerissen und von der extremen Säkularisierung unserer Zeit überwältigt ist.

Seit dem letzten Konzil ist der Katholizismus ernsthaft gespalten. Johannes Paul II. und Benedikt XVI. wollten hier durch eine Mäßigung des Zweiten Vatikanischen Konzils Abhilfe schaffen. Francisco hingegen treibt es an seine Grenzen. Dies ist im liturgischen Bereich sehr deutlich sichtbar. Johannes Paul II. und insbesondere Benedikt XVI. bemühten sich 2007 mit Summorum Pontificum um eine Beschwichtigung, die den Höhepunkt dieser Pastoralpolitik darstellte, die es den Gemeindepriestern ermöglichte, positiv auf Gruppen zu reagieren, die eine traditionelle Feier forderten. Es stimmt, dass die Behauptung Benedikts XVI. in Summorum Pontificum, dass beide Liturgien die lex orandi der römischen Kirche seien, ein unkluger Vorschlag war, doch hat sie der traditionellen Liturgie ein friedlicheres Leben ermöglicht, denn man darf nicht vergessen, dass sich die Zahl ihrer Gotteshäuser in der Welt in zehn Jahren, von 2007 bis 2017, verdoppelt hat.

Im Gegenteil, Franziskus führte einen Krieg gegen diese Liturgie, deren Ausmaß er einschränken wollte. Im Jahr 2021 widersprach er durch Traditionis Custodes Summorum Pontificum, indem er behauptete, dass nur die Liturgie Pauls VI. lex orandi sei, indem er die Freiheit der Messe einschränkte, was zur Unterdrückung der Pariser Messen führte, gegen die wir seit vier Jahren unermüdlich demonstrieren, und indem er andere Sakramente neben der Eucharistie praktisch verbot.

Tatsächlich ist es heute unmöglich, die traditionelle Messe und das Glaubensbekenntnis, das sie repräsentiert, auszurotten. Auch wir haben lautstark Gerechtigkeit gefordert, nicht für uns selbst, sondern für die Kirche, die durch diese Maßnahmen unterdrückt wird. Wir haben immer wieder um die Freiheit von der traditionellen Liturgie gebeten und bitten weiterhin darum, was zur Freiheit der Kirche gehört, denn diese uralte Liturgie ist ihr eigenes und sehr kostbares Gut.

Während sich das Kardinalskollegium auf die Wahl eines neuen Papstes vorbereitet, bekräftigt die letzte Brief von Paix Lirturgique, dass die Freiheit der traditionellen Liturgie für den Frieden der Kirche von wesentlicher Bedeutung ist. Lassen Sie Katholiken wenigstens ein katholisches Leben in der katholischen Kirche führen. Wir wiederholen auch, dass die Errichtung dieses Friedens einfach ist; für diese wohltätige Maßnahme bedarf es keiner zusätzlichen Gesetzgebung: es genügt, wenn die kirchlichen Autoritäten über die praktische Einstellung der Zwangsmaßnahmen gegen die alte Liturgie entscheiden.

Mit anderen Worten geht es darum, Traditionis Custodes in Klammern zu setzen. Wir müssen uns auch darüber im Klaren sein, dass mit dem Tod des Papstes von Traditionis Custodes unweigerlich die Tatsache ans Licht kommen wird, dass dieser Text auf einer Lüge beruhte. Ich habe es von Anfang an gesagt und wiederholt: Die auf Ersuchen des Papstes am 7. März 2020 von Kardinal Ladaria, dem damaligen Präfekten der Kongregation für die Glaubenslehre, unter allen Bischöfen der Welt durchgeführte Umfrage zur Bilanz der Umsetzung von Summorum Pontificum ergab eine insgesamt sehr positive Bewertung. Die zentrale Frage der Befragung lautete: „Welche positiven und negativen Aspekte sprechen Ihrer Meinung nach für die Verwendung der außerordentlichen Form?“ Die vom Motu proprio Benedikts XVI. betroffenen Bischöfe betonten überwiegend die befriedende Wirkung und den friedlichen Einsatz seiner Maßnahmen.

Der Brief von Franziskus vom 16. Juli 2021, der Traditionis Custodes beigefügt war, stellte jedoch das Gegenteil der Ergebnisse dieser Umfrage fest: „Die eingegangenen Antworten haben eine Situation offenbart, die mich traurig und besorgt macht, und mich darin bestätigt, dass es notwendig ist einzugreifen. […] Eine von Johannes Paul II. und mit noch weiterem Großmut von Benedikt XVI. gewährte Möglichkeit, um die Einheit der Kirche unter Achtung der verschiedenen liturgischen Sensibilitäten wiederherzustellen, ist dazu verwendet worden, die Abstände zu vergrößern, die Unterschiede zu verhärten, Gegensätze aufzubauen, welche die Kirche verletzen und sie in ihrem Weg hemmen, indem sie sie der Gefahr der Spaltung aussetzen.

Diese Verdrehung der Wahrheit – sei es durch den Papst oder durch seine Vertrauten – ermöglichte die Vorbereitung von Traditionis Custodes bei zahlreichen Treffen im Palast des Heiligen Offiziums, wo dieser Wunsch nach einer Einschränkung der traditionellen Messe insbesondere von Kardinalstaatssekretär Parolin unterstützt wurde: „Diese Messe muss für immer abgeschafft werden!“ „Aber die Wiederaufnahme der Verfolgung der Tridentinischen Messe beruhte auf einer Fälschung, und deshalb fordern wir, wie Sie wissen, seit mehreren Jahren die Veröffentlichung der Untersuchungsergebnisse, um in Ruhe die Wahrheit über diese Manipulation ans Licht zu bringen.“

Liebe Wächter-Freunde, unser Protest muss heute noch stärker sein. Wieder einmal stehen die Freiheit und der Frieden der Kirche auf dem Spiel. Ein Zeichen dieses anhaltenden Protests: unsere Rosenkränze vor dem Sitz der Erzdiözese, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, Montag bis Freitag, ab 13 Uhr. bis 13:30 Uhr, in Saint-Georges de La Villette, 114 Avenue Simon Bolivar, am Mittwoch um 17:00 Uhr, vor Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Echos der Mahnwachen: In gebrochenem Französisch bleiben Mitglieder einer Familie vor uns stehen: „Wir leben in Amsterdam und denken wie Sie. Wir hoffen, dass die Kirche in Frankreich nicht wie die in den Niederlanden wird, die praktisch verschwunden ist.“ Die jüngste Tochter fügt hinzu: „So Gott will, werde ich bald nach Paris zurückkehren, um mit meinen Freunden an der nächsten Pilgerfahrt nach Chartres teilzunehmen. Ich war schon zweimal dort, aber unser niederländisches Kapitel wird dieses Jahr größer sein! Vielleicht sehen wir uns bei dieser Gelegenheit wieder. Bis bald!



UMA MENTIRA E A PERSEGUIÇÃO DA MISSA TRADICIONAL

RESTAURANDO A PAZ DA IGREJA

188ª SEMANA: OS SENTINELAS CONTINUAM AS SUAS ORAÇÕES

PELA DEFESA DA MISSA TRADICIONAL

DIANTE DA ARQUIDIOCESE DE PARIS




Na segunda-feira, 21 de abril de 2025, Segunda-feira de Páscoa, recebíamos a notícia da morte do Papa Francisco. Rezamos pelo eterno descanso da sua alma. E rezamos também, e intensamente, pela Igreja, hoje dividida, dilacerada, e oprimida pela extrema secularização do nosso tempo.

Desde o último concílio que o catolicismo está seriamente dividido. João Paulo II e Bento XVI, de alguma forma, quiseram remediar isso moderando o Vaticano II. Francisco, ao contrário, levou-o até ao limite. Isto é bem visível no campo litúrgico. João Paulo II e especialmente Bento XVI procuraram o apaziguamento, e Summorum Pontificum, em 2007, foi o culminar desta política pastoral que permitiu aos párocos responder favoravelmente aos grupos que solicitavam uma celebração tradicional. É certo que afirmar, como fez Bento XVI em Summorum Pontificum, que ambas as liturgias eram a lex orandi da Igreja Romana foi uma opção imprudente, mas permitiu uma vida mais pacífica para a liturgia tradicional, que, é preciso recordar, viu duplicar em dez anos o número dos seus locais de culto no mundo, de 2007 a 2017.

Pelo contrário, Francisco decidiu abrir guerra contra esta liturgia, cuja extensão e crescente difusão quis reduzir. Em 2021, através do Traditionis Custodes, contradisse Summorum Pontificum, ao afirmar que só a liturgia de Paulo VI era lex orandi, ao restringir a liberdade da Missa, o que levou à supressão das Missas parisienses, contra a qual nos manifestámos incansavelmente há quatro anos, e ao praticamente proibir os outros sacramentos para além da Eucaristia.

Na realidade, a missa tradicional, com a profissão de fé que representa, é hoje impossível de erradicar. Mas exigimos também justiça e com voz bem firme, não para nós, mas para a Igreja que está a ser oprimida por estas medidas. Temos vindo a pedir constantemente, e continuaremos a pedir, a liberdade da liturgia tradicional, que é uma parte da liberdade da Igreja, porque esta liturgia imemorial é o um bem próprio da Igreja, e um bem preciosíssimo.

Enquanto o Sacro Colégio se prepara para eleger um novo Papa, a mais recente Carta de Paix Liturgique lenbra que a liberdade da liturgia tradicional é essencial para a paz da Igreja. Deixem que os católicos possam viver vidas católicas, pelo menos na Igreja Católica. Repetimos também que o estabelecimento desta paz é coisa bem simples; este resultado benfazejo não requer qualquer legislação adicional: basta que as autoridades eclesiásticas cessem na prática a aplicação de medidas coercivas contra a liturgia antiga.

Por outras palavras, trata-se de colocar Traditionis Custodes entre parênteses. Devemos também estar cientes de que, com a morte do Papa de Traditionis Custodes, o facto de este texto se basear numa mentira virá inevitavelmente à tona. Já o disse e repeti desde o início: a sondagem lançada a 7 de Março de 2020 pelo Cardeal Ladaria, então Prefeito da Congregação para a Doutrina da Fé, a pedido do Papa, e dirigida a todos os bispos do mundo, a fim de se poder fazer um balanço sobre a aplicação de Summorum Pontificum, revelou uma avaliação geralmente muito favorável. A questão central do inquérito era: "Na sua opinião, quais os aspectos positivos e negativos da uso da forma extraordinária?" Em grande medida, os bispos afectados pelo motu proprio de Bento XVI enfatizaram o seu efeito pacificador e o aplicação igualmente pacífica das suas medidas.

No entanto, a carta de Francisco de 16 de Julho de 2021, que acompanhava o motu proprio Traditionis Custodes, veio afirmar o oposto dos resultados desta pesquisa: "As respostas recebidas revelaram uma situação que me entristece e preocupa, confirmando a necessidade de intervir. […] Uma oportunidade oferecida por São João Paulo II e, com ainda maior magnanimidade, por Bento XVI, para restaurar a unidade do corpo eclesial, respeitando as diversas sensibilidades litúrgicas, foi aproveitada para aumentar distâncias, endurecer diferenças e construir oposições que ferem a Igreja e impedem o seu progresso, expondo-a ao risco de divisão.

Esta deturpação da verdade — viesse ela do Papa ou de quem o rodeava — permitiu depois a preparação de Traditionis Custodes, fruto de várias reuniões no Palácio do Santo Ofício, onde este desejo de reduzir a Missa tradicional foi particularmente apoiado pelo Cardeal Parolin, Secretário de Estado: "Esta Missa deve ser abolida para sempre!". "Mas foi com base numa falsificação que se estabeleceu o retomar da perseguição contra a Missa Tridentina, e é por isso que, como bem sabem, vimos pedindo desde há vários anos a publicação dos resultados desse inquérito, para que, em paz, se possa enfim repor a verdade sobre esta manipulação.

Caros amigos Sentinelas, no momento presente, o nosso protesto deve ser ainda mais forte. Mais uma vez, estão em jogo a liberdade e a paz da Igreja. Um sinal deste protesto contínuo: os nossos terços em frente da sede da arquidiocese, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, de segunda a sexta-feira, a partir das 13h00. às 13h30, em Saint-Georges de La Villette, 114 Avenue Simon Bolivar, na quarta-feira às 17h, diante de Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Ecos das Vigílias: Num francês hesitante, os membros de uma família param à nossa frente e contam-nos: "Vivemos em Amesterdão e pensamos o mesmo que aqui estão a defender. Esperamos que a Igreja em França não esteja como a da Holanda, que praticamente desapareceu." E a filha mais nova acrescentou: "Se Deus quiser, em breve regressarei a Paris para participar na próxima peregrinação de Chartres com as minhas amigas. Já lá fui duas vezes, mas este ano, o capítulo holandês será ainda maior! Talvez nos voltemos a ver nessa ocasião. Até breve!".

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